Suite à l’incendie de l’usine Lubrizol de Rouen, une défiance déjà existante envers les institutions gouvernementales s’est accrue. Pourtant, plusieurs outils mis en place par les différents gouvernements permettent au citoyen d’avoir accès à de nombreuses informations. Ainsi depuis sa création, Etalab publie des millions de données publiques dans le but de renforcer la transparence de l’Etat vis-à-vis des citoyens mais aussi pour permettre une meilleure coordination entre les services administratifs et territoriaux.
Septembre, la rentrée, le bureau…Et si vous pouviez prendre des vacances sans limites, au-delà des cinq semaines légales? Cela vous semble probablement être un fantasme irréalisable. Et pourtant, les entreprises proposant des congés illimités se multiplient largement en France. Une évolution arrivée tout droit des États-Unis, bienvenue pour de nombreux salariés.
Le rêve américain
C’est en effet un modèle appliqué avec ferveur outre-Atlantique depuis environ quatre ans, et majoritairement dans la célèbre Silicon Valley. Outre Virgin ou General Electric, Netflix est devenu le représentant incontesté de l’entreprise aux congés illimités. La multinationale du divertissement télévisuel octroie à 5000 de ses salariés la possibilité de partir en vacances sans aucune restriction de temps. Un record.
L’Holochain est une nouvelle technologie dont l’arrivée imminente devrait révolutionner le monde du Web. Alors est-ce que cette nouvelle technologie va supplanter la blockchain ? Les spécialistes se posent sérieusement la question à mesure que le projet Holo prend de plus en plus d’épaisseur.
Pour les moins initiés, rappelons que la blockchain est une technologie de transmission d’informations et de stockage qui permet une décentralisation des données et l’utilisation de crypto-actifs. C’est un système parallèle à l’Internet (TCP/IP) que l’on a l’habitude d’utiliser et qui fonctionne par transmissions de paquets. La blockchain fonctionne par chaîne de confiance plutôt que par transmission.
A la suite d’un accord de restructuration de dette signé par François Hollande et le gouvernement cubain en 2015, les entreprises françaises investissent à Cuba, un pays qui a de grands besoins d’investissements pour amorcer sa modernisation.
« C’est maintenant qu’il faut investir à Cuba, dans dix ans, ce sera trop tard. » Les entrepreneurs français qui ont tenté le pari cubain ces dernières années sont unanimes : Cuba est aujourd’hui une destination qu’il faut surveiller de près car avec l’ouverture progressive de ses frontières et de son économie, l’île communiste est en train d’opérer une transformation de son pays. Une mutation motivée par les besoins en capitaux étrangers : pour relancer son économie, Cuba a besoin d’environ cinq milliards de dollars annuels. Les entreprises françaises se sont d’ailleurs déjà engouffrées dans la brèche et l’on parle facilement aujourd’hui d’un nouvel eldorado pour les entrepreneurs hexagonaux.
La Russie dispose du plus grand espace territorial du monde. Une aubaine pour le pays qui en tire depuis longtemps une grande richesse et lui permet d’établir des relations économiques avec de nombreux autres Etats de la région. Reste cependant la problématique de la gestion des modes de transport permettant d’acheminer personnes et biens à travers l’immensité russe.

Le train au travers de l’histoire russe
L’histoire du train russe débute en 1830, sept ans après la création de la première voie ferrée d’Europe, en France. Sous la directive du tsar Nicolas Ier, la première voie de chemin de fer relie Saint-Pétersbourg et Pouchkine. Ces 25 premiers kilomètres de rails sont une révolution. Avec l’inauguration de cette première liaison ferroviaire en 1837, la Russie entre dans sa révolution industrielle et débute son développement économique. En 1890, ce sont déjà 30 000 kilomètres de voies ferrées qui sont exploités.
De plus en plus de datas centers émergent en France afin de permettre aux entreprises de sécuriser le stock de leurs données. Mais l’importante consommation énergétique que demandent ces centres n’est pas sans conséquence sur l’environnement.
Conséquence inéluctable de la dématérialisation de masse de notre société, depuis quelques années, les centres de stockage de données fleurissent en France. Abritant de gros serveurs informatiques et des ordinateurs, ils sont chargés de conserver en toute sécurité les données des clients qui souhaitent protéger leurs acquis numériques. Des clients qui, dans la majorité des cas, sont des entreprises ou des collectivités territoriales.