La concentration du marché de la livraison de nourriture, et les rapprochements horizontaux comme verticaux entre acteurs significatifs du secteur se sont multipliés ces dernières semaines.
Back Market, une plateforme marchande spécialisée dans la vente d’appareils électroniques datés, a vu son activité fortement augmenter durant la crise.
Face à la demande croissante en production énergétique et aux enjeux de protection de l’environnement, les grands acteurs internationaux du secteur se mobilisent pour trouver de nouvelles solutions leur permettant de réduire significativement leur empreinte carbone.
En 1972, le Club de Rome et le rapport Meadows mirent en question les bienfaits de la croissance économique au regard de l’impact négatif qu’elle peut avoir sur l’écologie. Dans leur sillage, certains vont considérer que la décroissance s’impose comme l’unique solution face à l’épuisement programmé des ressources naturelles. Dans les années 80, le rapport Brundtland, issu des travaux de la commission des Nations unies pour l’environnement et le développement, offre une vision moins « techno-pessimiste ». En effet, il envisage plutôt de s’appuyer sur les innovations technologiques pour permettre « un mode de développement qui répond aux besoins du présent, sans compromettre ceux des générations futures ». Le concept de développement durable était né.
À l’heure où le monde du travail se cherche de nouveaux repères, le slow business pourrait constituer une excellente alternative tant pour les travailleurs que pour les employeurs.
L'AssurTech Alan a annoncé une levée de 50 millions € et la start-up made in France compte bien maintenant s'attaquer aux poids lourds de l'assurance santé.
Si l’épidémie du Covid-19 touche l’ensemble de la population mondiale, ce sont bien les plus pauvres qui sont les plus vulnérables à la crise. Pour lutter contre ces inégalités, de nombreuses associations partout dans le monde s’engagent.
Le coronavirus, miroir des inégalités
Au début de l’épidémie, beaucoup ont pensé que les personnes âgées étaient les plus affectées par le coronavirus. En réalité, la probabilité de contagion et de mortalité augmente plutôt avec le niveau de précarité. En effet, les personnes à faible revenus sont souvent en moins bonne santé, disposant en effet d’un accès plus limité aux soins et à l’hygiène. Des recherches épidémiologiques ont même démontré qu’un ouvrier avait quasiment le même risque de surmortalité qu’une personne atteinte d’une maladie cardiovasculaire grave.